Un an de joie chez L’Épicière de comté

Un an de joie chez L’Épicière de comté

Entrer chez L’Épicière de comté, c’est comme entrer dans la maison d’une bonne amie qu’on a depuis toujours. On sait qu’on y sera invariablement accueilli avec un mélange parfait de simplicité, de bonheur et de convivialité. Les habitués vous le confirmeront et comprendront d’ailleurs tous pourquoi Claudie Tremblay qualifie la première année d’existence de son commerce de « remplie de joie ».
Quand arrivera le premier août, date du premier anniversaire de l’entreprise, celle qui s’est lancée en affaires au terme d’un long contrat professionnel de dix ans pourra dire mission accomplie. C’est qu’il fallait avoir de l’audace pour se lancer dans une telle aventure en passant par-dessus les préjugés voulant que le Vieux-Donnacona était loin d’être le meilleur endroit où ouvrir un comptoir-lunch et une épicerie du terroir.
Avec l’appui de son conjoint et copropriétaire Gérald Doré, Claudie Tremblay a certainement réalisé un rêve en ouvrant les portes de L’Épicière de comté. Grâce à son entreprise familiale, se félicite-t-elle aujourd’hui, les produits agroalimentaires de notre région ont une vitrine à l’année et il est possible de boire de délicieux espressos à Donnacona.
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L’Épicière de comté, c’est une affaire de famille et de communauté. Sur cette photo signée Jean-François Michaud, Claudie Tremblay est entourée de Gérald Doré, Éloi Douesnard, (devant) Laurie Légarie (c’est la voisine d’en face!) et Jean-Olivier Thibodeau-Doré.

Dans le lieu de rencontre baba cool qui a poussé sur la rue Notre-Dame, sachez qu’on retrouve une foule de délices « de très grande qualité qui sont produits et faits au Québec ». À qualité égale, précisons que Claudie Tremblay, qui dit faire « les bons choix pour [ses] clients », favorise toujours les produits portneuvois.
Cela explique notamment pourquoi on retrouve le chocolat de Julie Vachon, le café de La p’tit Brûlerie et le sirop d’érable de Larguer les samares sur les tablettes du commerce. Des savons, des tabliers et bien d’autres créations artisanales d’ici y sont également en vedette.
Du côté du comptoir-lunch, vous aurez deviné que les légumes de saison sont à l’honneur en ce moment. Si les « grilechizes », les sodas de luxe et les soupes maison ont la cote, a-t-on appris, les brunchs mensuels au cours desquels L’Épicière de comté met particulièrement en valeur les produits qu’elle offre dans son épicerie sont aussi très populaires.
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Vous trouverez L’Épicière de comté au 152, rue Notre-Dame, à Donnacona.

Bien entendu, c’est avec un large sourire que celle que plusieurs appellent désormais L’Épicière de comté nous a confié que les gens de Donnacona et des alentours ont fait leur son entreprise. Les activités de cette dernière évolueront évidemment en fonction de la demande des clients dont « la réponse, se réjouit Claudie Tremblay, est bonne » jusqu’ici.
On peut avoir plus d’information sur ce qu’est et ce qu’offre L’Épicière de comté en visitant sa page Facebook.
Une épicerie pour rapprocher les gens
Comme cela lui tient particulièrement à cœur, il importe de mentionner que l’entrepreneure qu’est devenue Claudie Tremblay considère les producteurs et transformateurs avec qui elle fait affaire comme son « extension ».
Par souci d’offrir ce qu’il y a de mieux à ceux qui passent le pas de porte, et ce, au meilleur prix possible, elle a effectivement voulu réduire le nombre de mains entre lesquelles passent les produits pour se rendre jusqu’aux consommateurs.
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On retrouve une foule de produits de Portneuf et du Québec chez L’Épicière de comté.

Enfin, L’Épicière de comté entend continuer de nourrir l’esprit communautaire qu’elle souhaite pour Donnacona en développant des projets événementiels et expérimentaux. Profitons-en pour dire qu’elle voit d’un bon œil la création d’un « placotoir » municipal devant son entreprise.
Photo principale : Claudie Tremblay a eu une année « remplie de joie » grâce à l’Épicière de comté.

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