Dalton Ford a quarante ans
Depuis qu’Yvan Bédard et son associé de l’époque Marcel P.E. Plamondon ont fait l’acquisition de Plamondon Automobiles, pas moins de quatre décennies se sont écoulées. Dalton Ford, qui a été créé dans la foulée de cette importante transaction, célèbre donc un anniversaire particulier en ce début d’année 2016.
Comme ce n’est pas tous les jours qu’une entreprise atteint l’âge enviable de quarante ans, Yvan Bédard et son fils Étienne Bédard souhaitent en profiter pour remercier leur fidèle clientèle. Du lot des mordus, certains magasinent des voitures chez Dalton Ford depuis son ouverture. C’est donc dire que ce n’est pas d’hier que des acheteurs se rendent sur la Côte Joyeuse pour apprécier les plus récents modèles offerts par ce concessionnaire.
Parlant de modèles, M. Bédard se souvient très bien que les Custom 500 ont jadis été bien populaires auprès de ses clients. Si les camions ont toujours eu la cote, nous a-t-il précisé, ce sont les Ford F-150 et Escape qui connaissent actuellement le plus de succès. D’hier à aujourd’hui, a dit croire celui qui est bien fier du caractère familial de son entreprise, l’approche de vente est demeurée la même. Cependant, l’époque où les conseillers se rendaient chez les clients pour leur parler des avantages des Ford est révolu. Lorsqu’ils arrivent en magasin, ces derniers sont très bien informés et ont, pour la plupart, fait des recherches sur le Web.
Depuis maintenant quatre ans, il est intéressant de souligner qu’Étienne Bédard est directeur général et copropriétaire de Dalton Ford. Avec le MBA de HEC Montréal qu’il a en poche et l’aide de sa conjointe Fannie Gibeau, qui a complété un baccalauréat en administration au même endroit et qui est directrice générale du service et des ressources humaines de l’entreprise, sachez que M. Bédard fils vise rien de moins que l’excellence. « On veut être le meilleur Ford de la région de Québec », nous a-t-il confié. Quand on sait que l’entreprise qu’il dirige a reçu le Prix du Président à toutes les années depuis qu’il y travaille, force est de croire que sa soif de perfection a des retombées. En quarante ans, précisons que Dalton Ford a eu droit à cette récompense à vingt et une reprises. Bien entendu, cela fait la fierté des propriétaires, car ne l’obtient certainement pas qui veut.
Après avoir occupé le sommet de la Côte Joyeuse pendant de très nombreuses années, Dalton Ford, comme tous le savent, trône désormais au 605, Côte Joyeuse. C’est d’ailleurs là qu’une fête visant à remercier la clientèle sera tenue, le 5 mai prochain. Pas moins de trois cents personnes y sont attendues!
Une équipe unique
Si Étienne Bédard et Fannie Gibeau ont à cœur de satisfaire la clientèle, il faut savoir qu’ils veulent aussi largement miser sur l’équipe qui les entoure pour assurer la pérennité de Dalton Ford. On peut les comprendre, car au sein du personnel de l’entreprise se trouvent de nombreux employés d’expérience. C’est notamment le cas du mécanicien Yves Renaud, qui travaille pour l’entreprise depuis quarante ans. Soulignons également l’engagement de Lucette Thiboutot, soit la conjointe d’Yvan Bédard, qui y œuvre depuis plus de vingt-cinq ans. Alors que vingt-huit personnes sont aujourd’hui employées par Dalton Ford, sachez que l’entreprise, à ses débuts, n’en engageait que sept incluant les copropriétaires.
Un peu d’histoire
Bien qu’on ne puisse résumer une aventure de quarante ans en quelques lignes, il va sans dire que certains tournants de l’histoire de Dalton Ford méritent qu’on s’y attarde. Entre autres, on retiendra que le premier client de l’entreprise a été Dorilla Genois. En 1976, ce dernier a payé 4 100 $ pour un F-100 de l’année. La construction d’un atelier de carrosserie en 1980, la dissociation d’Yvan Bédard et Marcel P.E. Plamondon en 1991 et, bien entendu, le déménagement de 2013 sont autant de moments marquants.
Étienne et Yvan Bédard sont copropriétaires de Dalton Ford.
Cette photo rappellera sans doute des souvenirs à plusieurs Raymondois.
En quarante ans d’existence, l’entreprise a reçu le Prix du Président à vingt et une reprises.