COVID-19: La vaccination débute dans Portneuf
SAINT-RAYMOND | C’est vendredi, le 12 mars dernier, que la vaccination a débuté pour la population âgée de 80 ans et plus dans Portneuf. Le CIUSSS de la Capitale-Nationale tient cette opération au Centre multifonctionnel Rolland-Dion de Saint-Raymond.
Pour cette première journée, ce sont 200 personnes de 80 ans et plus qui ont été en mesure de recevoir leur première dose de vaccin. De plus, un deuxième rendez-vous était immédiatement offert pour l’administration de la deuxième dose. « Je suis choyée d’avoir été choisi. Ça fait longtemps que je suis dans la maison et on va enfin être libéré », mentionne Yvette Paquet, l’une des premières à recevoir son vaccin. « Ça c’est super bien passé et tous les gens sont gentils », ajoute-t-elle.
1000 personnes par jour
Samedi, 200 autres personnes étaient attendues au centre de vaccination de Saint-Raymond. « À notre capacité maximale, nous pourrions vacciner au centre de vaccination de masse du Centre multifonctionnel de Saint-Raymond environ 1000 personnes par jour. Nous ouvrirons de nouvelles plages horaires la semaine prochaine lors du prochain arrivage de vaccins », confirme Patricia McKinnon, directrice de la vaccination au CIUSSS de la Capitale-Nationale.
Pour s’inscrire à la vaccination, il faut se rendre sur le portail, clicsante.ca
Vaccination à domicile
Jusqu’à maintenant, 6 663 personnes de Portneuf ont pris un rendez-vous. En plus de la clinique de masse, la vaccination à domicile est offerte aux personnes de 60 ans et plus qui reçoivent actuellement des services des équipes du soutien à domicile du CIUSSS et qui ne peuvent se déplacer.
Cliniques mobiles de proximité
De plus, des cliniques mobiles de proximité s’ajouteront bientôt pour les secteurs plus éloignés, dont Saint-Marc-des-Carrières et Sainte-Catherine-de-la-Jacques-Cartier. « On va aussi avoir un service qui va être donné dans l’Ouest de Portneuf le 21 mars prochain à Saint-Marc-des-Carrières », assure le député de Portneuf, Vincent Caron. « Ce qui me réjouit, c’est de voir à quel point c’est bien organisé, mais aussi de voir les sourires derrière les masques », conclut M. Caron.
— En collaboration avec Sarah Lachance