Course de la côte des sœurs: une première édition au-delà des espérances
RIVIÈRE-À-PIERRE | Température idéale, Foodtruck, musique, animation et ambiance festive, les organisateurs de la Course de la côte des sœurs de Rivière-à-Pierre n’auraient pu demander mieux pour cette première édition. C’est environ une centaine de personnes qui se sont rassemblées derrière l’édifice municipal le 14 mars dernier afin d’encourager les participants lors de leur descente.
Sans compétition et uniquement pour le plaisir, l’événement se voulait la première activité lancée par le nouveau comité de politique familiale de Rivière-à-Pierre.
L’ouverture de la course s’est faite par le Bonhomme Carnaval de l’O.T.J. de Rivière-à-Pierre sur son traîneau à trois skis.
Deux anciennes duchesses du Carnaval de Rivière-à-Pierre ont également descendu la côte sur leur traîneau spécialement conçu pour l’occasion. « On a bien aimé ça, on s’est amusé du commencement en faisant nos bolides jusqu’à aujourd’hui », s’exclame Hélène Bouchard.
Les deux participantes, qui sont aussi sœurs, n’ont pas hésité à s’inscrire. « On s’est dit on va y aller ! Lorsqu’il y a des activités comme celles-là, on participe souvent », ajoute Céline Bouchard.
Un taux de participation inattendu
Chose certaine, pour les membres du comité organisateur, le nombre de participants pour la journée a été au-delà de leur prédiction. « [Au total], on a eu au-delà de 17 inscriptions pour la course. Je ne m’attendais pas à autant de personnes. Je suis vraiment contente de voir la réponse d’autant des gens d’ici [de Rivière-à-Pierre] que ceux de l’extérieur », lance Sophie Moisan, organisatrice de la Course de la côte des sœurs et membre du comité de politique familiale.
Une deuxième édition déjà prévue
La fin de semaine du 13 mars 2021 est déjà réservée pour accueillir la deuxième édition de la Course de la côte des sœurs. Cette fois-ci, la course sera compétitive et non participative. « Soyez-là et préparer vos traîneaux […] parce que l’année prochaine il va y avoir un chronomètre et un détecteur de vitesse », indique Mme Moisan.
Photo: Sarah Lachance